Les salons du livre sont des lieux de rencontres. Évidemment avec les lecteurs, c’est l’objectif premier. Mais entre voisins de dédicaces aussi, donc entre auteurs.

Si vous lisez ce blog de temps en temps (on peut toujours rêver !) vous savez sans doute combien je prône, apprécie et pratique dès que l’occasion s’en présente l’écriture de concert.

Vider son sac… Marie SizunEst-ce parce que la semaine dernière, le musicien Roland Becker vidait son sac en lieu et place,...

Dans cette chronique, tous les cas de figures se sont présentés. Sauf un : pas de sac du tout. Le breton, Roland Becker inaugure le concept.

Difficile d’avoir autant la pêche que Gérard… Dans sa tête, cela fourmille. Des projets jusqu’à plus soif. Gérard a tout connu, des plateaux de cinéma aux succès littéraires

Vider son sac… Aurélie JeanLorsqu’à propos du sujet de sa thèse à l‘école des Mines : la modélisation mathématique et...

Gwenaëlle a toujours un voyage dans la tête. Passé, présent, futur. Mais comme elle ne cultive pas (trop) la nostalgie (…quoique !), pas le temps, la vie est trop présente, trop remplie, elle pense sans doute déjà au prochain.

Marianne, elle m’épate. Nombre de ses posts sur FB me font rire aux éclats et me dire aussi : elle ose écrire ce que jamais je n’oserais…

Gwenaële, il est préférable de l’attraper entre deux prix littéraires. Parce qu’elle les accumule, les collectionne. 11 en tout pour 4 titres !

Au hasard des formations d’auteurs, on fait des rencontres. De celles qui vous impressionnent par leur parcours. Sylvie Brieu est de celles-là.

Londres mi-mars. Dans un petit deli italien quelque part à Notting Hill. Oui, celui du coup de foudre. Manquent que Hugh Grant et Julia Roberts.

Avec Annie, ce n’est pas pareil. L’exercice du lundi prend obligatoirement une autre forme mais cela ne le facilite pas pour autant.

Vider son sac … Catherine BoisselUne frange très brune sur des yeux très bleus entre Delft et porcelaine de Chine. Un faux...

Tout en enlevant son bonnet de laine, car très frileux du crâne, Christian Blanchard sourit. Un peu timide, il ouvre obligeamment un magnifique cartable aux multiples poches, bien ciré, rutilant.

On la croise dans nombre de salons bretons, discrète, studieuse comme une élève appliquée, mais ne pas s’y fier.

Je croyais qu’avec l’épisode d’Henry Le Bal, poète dramaturge un peu fou, se terminait la série vider son sac, mais il a suffi d’un nouveau salon à Theix (56) …